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 |  Sujet: Présentation de Neidanac  Sam 13 Juin - 22:58 | |
|  Neidanac De Sade Montfort Seigneur de Cantaing Dict le Sale Amienois
Fils unique de Groland de Sade comte du cambresis et vicomte de Bouvinnes
Neidanac de Sade Montfort est vêtu de bleu car comme la mer il peut vous guider dans les profondeur si vous faites les malin. Et le blanc il la choisi en l’honneur de l’air qu’il déplace lorsque son pied s’enfonce dans vos fesses.
Neidanac vit le jour il y a une vingtaine d’années, sans doute a Cambrai, Mais son enfance se fit en Normandie puisque c’est là bas qu’il grandit. Il ne sait pas grand-chose de son enfance, ni de ses origines sinon qu’il a été recueilli sur le parvis d’une église, âgé d’à peine quelques heures. Il a été élevé dans l’enceinte d’un prieuré normand, dans les préceptes de la vie Aristotélicienne.
Si les moines poussent les enfants trouvés à entrer dans l’Ordre pour servir le Très-Haut, ils se rendirent bien vite compte que ce n’était visiblement pas ce à quoi le destinait le Tout-Puissant. À peine âgé de sept ans, Neidanac poursuivait les animaux de basse-cour ainsi que les frères trop empâtés pour courir avec une petite épée de bois et faisait mine de les occire en poussant un cri de guerre. Il refusait d’endosser la bure de moine, de se raser les cheveux et est même allé jusqu’à donner les épîtres de Saint-Benoît à manger aux porcs, à la plus grande consternation des frères !
Refusant de se plier aux règles strictes de la vie monastique et refusant d’étudier le latin et la théologie, le prieur Philip – l’homme qui l’avait trouvé- décida d’envoyer le jeune Neidanac en tant qu’écuyer chez un noble artésien dès qu’il eût atteint ses quatorze ans. C’est habillé tout de neuf et un poignard à la ceinture que le jeune garçon quitta le prieuré vers la caserne de l’Ost de amiens.
Il n’avait jamais vu autant de luxe dans une seule demeure : des plats d’argent, des hanaps incrustés de pierre précieuses, des tapis importés de l’Orient, des tissus tous plus doux les uns que les autres. Sans parler des destriers ! Chaque cheval valait plusieurs centaines d’écus ! Le château de Arras était un paradis.
C’était sans parler de son hôte ! Un richard bedonnant et rubicond vêtu de velours. Malgré ses airs empâtés et pompeux, Penhors lieutenant de Amiens était un excellent tacticien en plus d’être un excellent maître d’armes. Neidanac apprit rapidement le maniement de l’épée, la défense avec le bouclier et on lui fit mémoriser les tactiques de guerres de base.
Alors que le jeune homme maintenant âgé de dix-sept ans contant encore fleurette à la cadette aux filles du village Neidanac reçu une offre alléchante après avoir été en mission en Normandie il étais appelé a se joindre au Bourrins pour reprendre Compiègne.
C’est a se moment qu'il eu la chance de rencontrer le comte du Cambrésis Groland de Sade, Son chef de section Mateu tomba au combat dès la première nuit il fût donc appelé a mener la lance de celui-ci. Il eu la chance de mieux connaître le comte Groland grâce a ses nouvelles fonctions. Quelques mois plus tard le comte Lysandre signa le traité de la honte et mit fin à la guerre a la grande déception des soldats Artésiens.
Quelques mois plus tard il déménagea a cambrai avant d’allez combattre aux cotés des Bretons pour faire tomber le duché aux mains de ceux-ci. Enfin, il goûta a la saveur de la revanche et y prit goût… Dorénavant embêter Neidanac avait son prix… De retour en Artois il prépara a l’aide de quelques amis un grand évènement: la chute de Reims. Fièrement il se joint a eux et fait tomber le duché du roi en une nuit. La capital fût pillié. Ils rentrèrent chez eux sous les cris de victoire et sous les chants du peuple, les gens de Reims, avaient-ils été surnommé.
C’Est en décembre 1456 qu'il prend la route du Poitou en tant qu'ambassadeur et marchant ambulant pour réussir sa première mission, mais a son retour, la Normandie menace de lui bloquer le chemin avec un procès. Neidanac n’ayant pas peur de la colère des Normands, il rempli son sac de pain, de viande, de fruits et légumes et entrepris une longue traverser sur les nœuds, passant inaperçu, réussissant a regagner l’Artois, entier, malgré les menaces de Normande.
De retour a Cambrai un homme n’arrêtait pas de le suivre, même dans les petites ruelles sombres, le vieillard le zieutais d’une façon suspecte, Neidanac a bout de colère, en ayant marre de se faire suivre, plaqua le vieillard contre le mur et lui mis sa dague sous la gorge, le menacent de l’occire sur place. Le vieillard, nullement apeuré fit plutôt un sourire niait a Neidanac.
«-Petit, libère moi et tu connaîtra une vérité qui bouleversera le reste de ta vie tu n’est pas l’homme que tu crois être…»
Neidanac haussa un sourcil curieux, le relâche d’un geste brusque et le zieuta avec curiosité. Encore un fou se dit-il.
«-Je sais plus de chose sur toi que ton présumé père Torqual… tu n’est pas son fils. Le sang qui coule dans tes veines n’est pas le siens… J’ai surpris, un jour, en taverne un messire et une jeune femme, se prouvant leur amour en pratiquant des activités intimes qu'ils répétaient souvent, jusqu'au jour ou tu est née. Le couple n’étant pas prêt a élevé un enfant, ils te confière a une servante, sa mission était de t’amener a Dieppe pour faire de toi un futur diacre.»
Les yeux gris métalliques de Neidanac brillaient sous le récit du vieil homme voulant tout s’avoir de cette histoire et tirer les choses au clair.
«-Tu connais très bien ton père mais malheureusement ta mère a quitté se piètre monde pour rejoindre le tout puissant… paix ai son âme, ta mère portait le nom de Lafronde, une Cambrésienne de naissance, une fière dame. Elle a souvent regretté d’avoir du te laissé partir.»
Neidanac l’interrompit en bégayant…
«-Mon père, qui est-il? Qui est mon père? Parlez !»
Le vieillard se mis a rire en toussant et en se frottant le menton,
«-Jeune impatient, Ton père est le comte du Cambrésis. Il se nomme Groland de Sade, fondateur des bourrins de Cambrai, c’est lui-même qui a conduit les Bourrins a Compiègne.»
Sans répondre Neidanac entra dans sa taverne qui étais a quelques pas plus loin et se mis a avaler une forte quantité de bière, pour se remettre les idées en place après une nouvelle de se genre, il en avait besoin! Groland était donc au courant! Pourquoi ne lui avait-il dont rien dit?
Sa chanson préféré!
Qui part en guerre, ceux sont les bourrins !
Au combat ils ne craignent dégun,
Ceux sont des cambrésiens,
Les taureaux les plus sanguins !
Amis artésiens,
Suivez notre chemin,
Ennemis champenois,
Goutez votre trépas !
Qui part en guerre, ceux sont les bourrins !
Au combat ils ne craignent dégun,
Ceux sont des cambrésiens,
Les taureaux les plus sanguins !
Amis bretons,
Nous vous rejoignons,
Ennemis royaux,
Creusez vos tombeaux !
Qui part en guerre, ceux sont les bourrins !
Au combat ils ne craignent dégun,
Ceux sont des cambrésiens,
Les taureaux les plus sanguins !
L'épée est notre alliée,
Son fer vous gouterez.
Préparez vous même des années,
Devant nous vous tomberez !
Qui part en guerre, ceux sont les bourrins !
Au combat ils ne craignent dégun,
Ceux sont des cambrésiens,
Les taureaux les plus sanguins !
Ses Quelque expérience
Seigneur De Cantaing Vasal de Groland
Bourrins Un pour tous.Tous Bourrins!!!
Ambasadeur Artesiens Aupres Du Maine
Numero 87 Des Taureaux De Cambrai
L'unique Sale Amienois
Marchand-Ambulland
Soldat Artésiens
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