Arrivée d'un visiteur

Invité

Nicolas avait trouvé le château grâce aux indications de la chancelière, et fit passer la large porte à son cheval. Il mit pied à terre dans la cour, et tendit machinalement les rênes à un palefrenier qu'il n'avait pas vu arriver. Un rapide coup d'œil le dirigea vers deux battants entrouverts qui semblaient marquer l'entrée d'une sorte de Hall. Il les passa donc, et apprécia avec un petit hochement de tête l'architecture et la décoration des lieux. On s'y sentait immédiatement à l'aise... En revanche, cela manquait un peu de présence humaine. Aussi Nicolas s'éclaircit-il la voix avant de demander :

Hola, du château ! Y a-t-il âme qui vive icelieu ?

Invité

Bon je la refais plus simplement étant donné mon franc succès jusqu'ici Laughing

Dame Erwyndyll m'a dit de me présenter ici, et me voilà.

Messages : 1 Date d'inscription : 27/08/2009

Alors que le repaire de PAR étais calme aux heures matinal une voix résonnais pour la deuxième fois qui vint au oreille du colosse qui étais posté au porte du château. Le garde étais en fait un bourreau de profession son père avais été bourreau son grand père l'avais été ainsi de suite... Comme l'Artois torturais rarement des gens le bourreau du trouver un travail pour ramener des ecus a la maison afin de nourrir son père qui étais depuis quelques années cloué au lit faute d'une maladie. Ne voulant point décevoir son père le bourreau lui racontais chaque soir des passages de torture qu'il exécutais sur des Artésiens durant la journée. Mais hélas ce n'étais que mensonges il avais été embaucher par Neidanac pour éloigner les membres des autres listes qui désirais s'aventurer un peu trop proche de ses bureaux. L'emplois de garde ne lui plaisais pas il étais rouge de colère dans chacun de ses tours de garde il passais ses journée a maudissiez les dieux. Alors qu'il étais assit dans un couloir sombre décidant de fermer les yeux pendant que le patron étais absent une voix vint le dérangé dans son sommeil a deux reprises. Au pas de course comme un animal sauvage affamé il entra dans le halle d'entré et propulsa l'invité dans le mur de pierre encore froid. Ses pupilles dilaté de sang zieutais le nouveau venu... Sa voix caverneuse se fit entendre au plus profond des oreille de l'arrivant

Je suis Balthazar, qui est tu pour oser me déranger dans mon sommeil? Tu dis être un invité de la comtesse... la si belle comtesse a la chevelure d'or... elle possèede un coeur en or également une bien brave dame. Si j'apprend que tu ose me mentir a ses depends! GRRRRRRR! Mon maître ma embauché pour éloigné les êtres non invité il ma promis que j'aurais le droit de les torturer fais moi plaisir dit moi que tu est un intrus... dis moi que je peut verser un peu de ton sang.

Sans gène il rugit d'une furieuse façon dans les oreille du cambrésiens.

Toi et moi on va jouer a un jeu, sa s'appelle comtesse au secours toi tu cris et moi je savoure la peur qui brûlera dans tes yeux après dix appels si elle n'arrive pas je t'apprendrais a prononcer le verbe Ayoyez a tous les temps *Ayoyez n'est pas un verbe mais le personnage ne le sais pas*

Empoignant son fouet d'une main et tenant fermement sa peut être futur victime grâce a sa deuxième main plaqué la poitrine du cambrésien il lui murmura commençons cris 5 fois... pour commencer Hahaha!...

Invité

Nicolas fut assez surpris de voir une espèce de gueux arriver vers lui à grands pas. Il était entré dans le hall par une porte dérobée, camouflée derrière une teinture, et tenait un fouet. Lorsqu'il fut proche, une odeur rance de transpiration prit Nicolas à la gorge. Il eut une petite grimace de dégoût qui se transforma en indignation lorsque le rustre le plaqua contre le mur. Ses petits yeux porcins brûlaient de rage tandis qu'il lui déclarait, dans un souffle rendu fétide par la mauvaise bière, qu'il appréciait beaucoup la comtesse, qu'il n'aimait pas les menteurs, et qu'il aimerait le torturer pour lui apprendre à jouer les invités indésirables. Nicolas en était encore à se demander qui était ce maraud impoli lorsque ses oreilles résonnèrent des imprécations de celui qui semblait tenir office de garde. Ce cul-terreux le prenait pour un de ses semblables, et il allait arranger ça. Il sortit la dague qui ne quittait jamais sa ceinture et l'appliqua sur le ventre proéminent du rustaud.

Mon brave, je crois que vous vous méprenez. Je suis ici en tant qu'invité, et peu d'invités aiment se faire traiter de la sorte. Reculez, ou le seul sang qui sera versé aujourd'hui sera le vostre.

L'autre recula, de mauvaise grâce, et resta trop proche au goût de Nicolas, qui dégaina son épée et le tint en respect.

De l'air, maraud ! Ta proximité m'incommode. A présent, avertis quelqu'un de ma présence, ou je t'occis séance tenante.

Le bougre semblait hésiter... Était-il seul dans ce château ?

Messages : 341 Date d'inscription : 14/08/2009

Le bonjour messire ! Ravie de vous voir ici... Ne fâites pas attention a Balthazar...Il est vif mais dévoué !

Comment allez vous ?

Invité

Nicolas était concentré sur celui que la comtesse venait d'appeler Balthazar, aussi ne prit-il conscience de sa présence que lorsqu'elle lui adressa la parole. Elle avait sans doute été avertie de son arrivée par les éclats de voix du cerbère. Les traits de ce dernier s'illuminèrent en entendant le compliment indirect qu'elle lui faisait, et il s'approcha respectueusement d'elle, comme pour mieux s'imprégner de sa présence, toute trace d'agressivité disparue de son visage. En effet, sa dévotion semblait incroyable ! Gardant un œil soupçonneux sur lui, Nicolas rengaina son épée et remit sa dague dans sa ceinture, puis lissa le devant de son habit avant d'incliner poliment le buste à l'adresse de son hôtesse.

Dame, mis à part la petite... altercation dont vous avez probablement entendu les échos, je me porte très bien. Et vous-même ? Vous semblez en grande forme, et je m'en réjouis.

Invité

Tu me dégoutte Nicolas, Je crois que maintenant plus personne de PAR a envie de travaillez avec toi n'y aujourd'hui n'y demain et n'y dans cent ans tu sera un PAR, en emportant ton procès a la cours d'appel tu a tous simplement démontré que tu avais pas confiance en la justice Artésienne mais aussi ton geste démontre que le travail de une des notre étais mal effectuer chose que je ne peut tolérer. Retourne sur tes pas parce que jamais tu n'entrera ici. Je m'excuse de faire cella a ton invité Erwyn mais il ne mérite tous simplement pas d'entrer.

Messages : 195 Date d'inscription : 07/08/2009

Allait partir de PAR pour rentrer sur Péronne où elle campait, quand elle tomba sur Neid qui disait ses quatre vérités à…. Ohhhhh ce très cher Nicolas Machiavel.
Résistant à l’envie très forte qu’elle avait de sortir le fouet et de le rouer de coups tellement il lui sortait par les yeux, elle se borna à le toiser.

Tiens mais c’est ce très cher Nicolas de.. euhh machin chose….. Enfin bref, alors, on vient postuler chez PAR attendu que tu viens de faire appel, prouvant que tu n’avais pas confiance en la Justice de notre Comté ? et mettant à mal le travail d’un membre même de PAR ? Ah beh bravo…..

le regarde des pieds avec une moue dégoutée.

Depuis que tu es en Artois mon pauvre ami, tu te plais à te faire remarquer, mais pas dans le bon sens. Deux procès pour escroquerie, et à peu d’intervalle, tu te moques ouvertement en taverne du travail d’un lieutenant du guet, tu joues avec nos lois te mettant en retraite pour retarder le procès et te faire oublier, tout en venant régulièrement en taverne où je t’ai croisé personnellement à maintes reprises. Et j’en passe. Tsssssssss Tu n’es qu’une sangsue pour l’Artois, tu te mêles de tout, tire profit de tout dans ton intérêt personnel. Même en taverne on ne te supporte plus. Alors encore moins à PAR. Tu as voulu être artésien car tu as besoin de l’Artois pour faire mousser ta petite personne, mais l’Artois n’a pas besoin de nainbot de ton espèce. Et comme avocat, puisque tu veux être avocat, l’Artois a déjà le meilleur.
Rejoins donc la ville dont tu défend la franchise avec tant de véhémence en taverne, tu seras bien assorti au reste du troupeau.

Sur ce, se détourne de cette face de nainbot, fait la bise à Neid et retourne près de la rivière où elle est attendue.

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